Pourquoi j’ai créé Visual 2 Explain ?
C’est en travaillant pendant près de 15 ans dans des postes de communication que l’évidence de la Facilitation Graphique est née.
Dans toutes les organisations dans lesquelles j’ai travaillé, j’ai fait le constat suivant :
- Constat n°1 : Les entreprises travaillent sur des projets de plus en plus en nombreux
- Constat n°2 : Les projets portés par les entreprises sont de plus en plus complexes
- Je me suis donc posé la question suivante : « Face à l’accélération du nombre de projets portés et à la complexité de bon nombre d’entre eux, comment communiquer de façon pertinente et efficace avec des salariés et des équipes submergés par l’information ? »
J’en ai alors tiré quelques évidences :
D’abord, c’est que les mots seuls, ne suffisent pas toujours et que les contenus sur Word ou Powerpoint longs et denses sont vites indigestes.
Ensuite, c’est que pour bien communiquer il faut donc savoir être clair et synthétique.
Enfin c’est que pour être lu ou pour être vu, un contenu doit d’abord attirer l’attention de sa cible, se détacher du reste de la masse d’information pour attirer l’œil et la curiosité.
Les 3 atouts de la facilitation graphique
Ces 3 évidences, ces 3 leviers de communication sont 3 des atouts de la facilitation graphique.
En effet, la facilitation graphique combine le pouvoir de la synthèse et le pouvoir du visuel.
- Avec sa dimension visuelle, le support de « scribing » attire l’œil et retiens l’attention.
- Sa dimension synthétique permet en outre de donner à voir l’essentiel de ce qu’il y a à retenir d’un projet.
- Bien structuré, un visuel permet aussi de séquencer les étapes d’un projet ou de donner une réalité dessinée à une notion abstraite. En cela, elle facilite la compréhension de sujets complexes.
La facilitation graphique est aujourd‘hui couramment utilisée : lors d’évènements pour synthétiser en direct ce qui est important.
Elle est aussi utilisée pour faire de la pédagogie notamment par les managers qui y voient un outil pratique et ludique pour effectuer du « cascading » d’informations.
Les supports peuvent aussi être déployés sous forme de posters, de fresques ou de vidéos dessinées explicatives.
